AgnèsMarie "Joie de Dieu" - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. EVENEMENTS ANNONCES POUR LA BRETAGNE (Extraits d\u0019extases de
Lesmaux du corps sont les mots de l’âme : la somatisation . Dernière mise à jour : 4 avr. Mon accompagnement thérapeutique propose de s'interesser au principe de somatisation. Késako ? Le Larousse la définit comme "une réponse physique, organique à un stress psychologique" ; quand tu as mal quelque part et qu'aucun examen médical ne trouve d'origine, il y a de
Les maux du corps sont les mots de l’âme » Echanges sur le soin du corps et soin de soi le 05 mars 2019 8h30-17h Le corps occupe une place dans notre pratique au quotidien. Il nous occupe et nous préoccupe. Nous accompagnons des personnes dont le corps souffre, dont le corps porte le poids des années, le poids de leur propre souffrance, dont le corps ne se
cash. Par Simon Piel et Thomas Saintourens Publié hier à 18h06, mis à jour à 05h36 Temps deLecture 7 Le roman noir de la coke » 1/5. A l’époque de la révolution industrielle, découvrir les vertus supposées miraculeuses de la feuille de coca constitue un défi en vogue pour les laboratoires pharmaceutiques du Vieux Continent. Des chimistes allemands finissent par trouver la formule de cette drogue qui, peu à peu, va étendre son empire sur le cargaison commandée par le doteur Wöhler est arrivée en fond de cale, presque en douce. Dans le port de Trieste, ce matin du 26 août 1859, nul ne prête attention à ce ballot de feuilles rabougries, à peine 10 kg, extrait de la soute du trois-mâts Novara, parmi les 26 000 spécimens exotiques rapportés d’un fabuleux tour du monde de 551 jours. L’Empire d’Autriche fête le retour de cette expédition scientifique dont les richesses rejoindront bientôt le Muséum d’histoire naturelle de Vienne, en construction dans la capitale. Mais, pour le chimiste Friedrich Wöhler, ce sac de feuilles récupéré en Bolivie par les explorateurs impériaux, au prix de rocambolesques aventures, est bien plus important. C’est un trésor destiné à être étudié sous toutes les coutures dans son laboratoire de l’université de Göttingen, en scientifique convoque Albert Niemann, le plus prometteur de ses étudiants. C’est à ce disciple de 26 ans qu’il confie la mission secrète percer les mystères de la feuille de coca. Sous les doigts du thésard glisse la plante aux effluves piquants, à laquelle des siècles de légendes, peut-être des millénaires, confèrent une aura presque mystique. A en croire les récits des missionnaires, botanistes et autres aventuriers, la feuille de coca procure une puissance surhumaine, guérit les malades, apaise les maux du corps et de l’â devant sa paillasse, Niemann ne doit pas invoquer les esprits, mais pratiquer la science. Il sait que d’illustres érudits ont étudié la coca avant lui. Jussieu, Gaedcke, Markham… Aucun n’a su déterminer sa formule chimique. Il sait aussi que la concurrence est rude. Isoler les principes actifs de cette plante est un défi en vogue chez les biologistes du Vieux Continent. Mais lui seul dispose d’autant de matière premiè la pénombre du laboratoire, jours et nuits se confondent. Niemann ne veut pas décevoir son mentor, le docteur Wöhler. En se consacrant à la coca, l’étudiant ouvre une parenthèse dans ses travaux prometteurs sur la combinaison d’éthylène et de dichlorure de soufre, aussi appelé  gaz moutarde », une découverte qui pourrait devenir une arme redoutable dans les guerres audacieuses Place à la coca, donc. Niemann lave les feuilles dans une solution alcoolisée, teintée de quelques traces d’acide sulfurique. Il en tire une pâte mélangée ensuite avec du bicarbonate de soude, puis la distille encore pour obtenir des cristaux blancs allongés. Ainsi mixé, malaxé et réduit, le principe actif apparaÃt peu à peu, comme une photographie passée au révélateur dans la chambre noire. Les autres étudiants ont à peine repris les cours que le chercheur parvient à isoler les principes chimiques de cet alcaloïde puissant. Il le baptisera  kokain ».Sa thèse, publiée dès 1860 dans la revue Archiv der Pharmazie, ouvre un horizon infini d’expérimentations. Cette plante pourrait renfermer les remèdes de demain. Mais le jeune homme, malgré l’exaltation, peine à se tenir droit devant ses tubes à essai. Chaque jour qui passe, son souffle se fait plus court, sa poitrine le brûle, son énergie se consume. L’hiver venu, il part se reposer chez ses parents, à soixante kilomètres de là . Il mourra le 19 janvier 1861, les poumons infectés par le gaz moutarde inhalé lors de ses expériences. Le dossier  Kokain », lui, est toujours sur son bureau. Wilhelm Lossen, un autre élève du docteur Wöhler, prend le relais. En quelques mois, il détermine la formule chimique de leur découverte C17 H21 NO4. Les feuilles de coca mâchonnées par les montagnards sur les sommets des Andes sont à présent réduites à leur substrat le sillage des chimistes de Göttingen, la  plante magique des Incas », comme la nomme le médecin globe-trotteur italien Paolo Mantegazza, fait l’objet des expériences les plus audacieuses, sur des animaux comme sur des humains. A l’été 1883, le médecin militaire allemand Theodor Aschenbrandt songe même à l’utiliser pour créer des surhommes. Lors d’une marche éprouvante, en pleine chaleur, il verse de la cocaïne dans les gourdes de six militaires épuisés. Les résultats témoignent d’un formidable regain d’énergie. Plus efficace et moins nocif, soutient Aschenbrandt, que l’alcool et le café froid. Il expose ses résultats dans un article scientifique, un de plus dans une littérature devenue Je vais m’en procurer » A l’hôpital de Vienne, un neurologue de 28 ans, Sigmund Freud, compile tous ces écrits – surtout ceux de la Therapeutic Gazette, une publication américaine vantant sans relâche cette substance nouvelle. Freud pressent que la cocaïne pourrait lui valoir la reconnaissance qu’il mérite. Dépasser la douleur, soigner la neurasthénie… Une aubaine pour cet ambitieux en proie aux épisodes dépressifs, miné à la fois par l’état de ses finances et par l’éloignement de sa fiancée, Martha Bernays. Le 21 avril 1884, il lui écrit  J’ai lu sur la cocaïne. … Je vais m’en procurer et essayer avec les cas de maladies cardiaques et aussi de fatigue nerveuse… Peut-être que d’autres y travaillent ; peut-être que rien n’en sortira. Mais je vais essayer, c’est sûr, et tu sais que, quand on persévère, on parvient à ses fins, tôt ou tard. On n’a pas besoin de plus d’un tel coup de chance pour pouvoir envisager de s’installer ensemble. »Trois jours plus tard, Sigmund Freud commande son premier gramme à la pharmacie Engel. A peine le sachet reçu – à un prix équivalent au dixième de son salaire mensuel –, il expérimente. Le 2 juin, il écrit de nouveau à Martha  Prends garde, ma Princesse ! Quand je viendrai, je t’embrasserai à t’en rendre toute rouge. … Et si tu te montres indocile, tu verras bien qui de nous deux est le plus fort la douce petite fille qui ne mange pas suffisamment ou le grand monsieur fougueux qui a de la cocaïne dans le corps. Lors de ma dernière grave crise de dépression, j’ai repris de la coca, et une faible dose m’a magnifiquement remonté. »L’inspiration ne lui manque pas non plus pour un article scientifique. Le 1er juillet, il publie Über Coca  de la cocaïne », une monographie exaltée de la plante magique. Le style est expressif, crayonné dans un état d’extase. Le texte est aussi truffé d’erreurs, même sur la formulation chimique de son objet d’étude. Le Viennois recommande à tous ses amis d’essayer. Persuadé qu’à la rentrée son article aura fait grand bruit, il envoie également quelques milligrammes de poudre à sa Martha adorée, avant de la rejoindre pour les vacances d’été. La gloire, enfin, est à portée de belle la vue A son retour de congés, la cocaïne est bien au cÅ“ur de toutes les discussions, mais avec un autre scientifique viennois son collègue Carl Koller, un ophtalmologiste austère. Sa trouvaille, présentée le 15 septembre 1884 au congrès médical d’Heidelberg, va révolutionner l’anesthésie. Une solution à base de quelques gouttes de cocaïne, dosée à 2 %, déposées sur la cornée, permet d’opérer, à vif, les patients atteints de problèmes de vue. L’hypothèse avait surgi quelques semaines plus tôt, alors que Koller et Freud, travaillant ensemble, avaient laissé fondre quelques paillettes de cocaïne sur leur langue. La sensation d’engourdissement fit l’effet d’un  eurêka » pour l’ophtalmologiste. Il fonça vers son laboratoire, empoigna la première grenouille à portée de main pour s’en servir de cobaye. Le test fut aussi bref que prometteur. Assez pour que Koller passe à l’étape suivante, sur sa personne il se piqua l’œil avec une épingle sans ressentir la moindre ophtalmologistes, mais aussi les anesthésistes et les chirurgiens, veulent désormais prendre part à cette révolution. Encore faut-il disposer de la matière première en volumes conséquents. Problème la plante des Andes ne se plaÃt guère en climat tempéré. Et les expéditions pareilles à celle du Novara sont coûteuses et complexes à mettre en Å“uvre. Sans compter que les feuilles voyagent mal. Dans cette  filière » commerciale déjà en tension, les premiers arrivés sont les premiers Darmstadt, un laboratoire pionnier a pris de l’avance. L’entreprise familiale Merck lance la production de cocaïne, sans assurance sur ses utilisations futures. Elle produit 1,4 kilo en 1884, 30 kilos l’année suivante… En trois mois, après le congrès de Heidelberg, le prix du gramme passe de 6 à 23 marks. Aux Etats-Unis, le laboratoire concurrent se trouve à Détroit. Son nom Parke Davis and Co ; Parke pour Hervey C. Parke, un homme d’affaires avisé, et Davis comme George S. Davis, un  communicant » d’à peine 22 ans. La Therapeutic Gazette, sous le couvert de publications scientifiques, est leur outil promotionnel.
Ancêtre Sacré Tortueux et majestueux Ses branches ont suivi Les rayons chaleureux Le souffle du vent et la pluie Ses couleurs enchantent La forêt et ses secrets Ses feuilles chantent Vibrant sous les feux follets Le soleil étincelle à travers son voile Transperçant son incroyable majesté Dame nature accrochant son étoile Comme un messager couronné Il n’y a pas de plus belle capture Que la beauté sacrée de cet ancêtre Qui d’aventures en aventures À braver toutes les tempêtes © LouMiss Image Portland-Japanese-Garden-Photography-Cropped-for-Pinterest-by-Michael-Matti- L'élu Dans un frémissement léger Un effleurement abandonné Il s'est senti attiré Par cette beauté plumée Elle, si belle, si pure Au milieu de cette nature La main, lui a tendu Surpris, s'est poséEt depuis, est devenu L'élu de son cœur Papillon porte-bonheur L'ange lui confère force et courage L'éphémère y a gagné un autre âge Désormais liés à jamais Immortels, ils sont fusionnels L'éphémère la vénère Dans un envol éblouissant Vers les étoiles tourbillonnant Ils s'étourdissent en s'aimant Rejoignant infiniment le firmament Elea Laureen © Image du Net Quelle importance ? Qui es-tu ? Toi, l'inconnue Cette incongrue ∞ Je ne te connais Ni d'Adam ni d’Ève Et parfois, tu m'achèves ∞ Sans raison, aucune Juste pour l'infortune D'avoir croisé ta lune ∞ Que cache cette haine ? Pourquoi faire tant la peine ? Ce plaisir te rend se Reine ? ∞ Si seulement tu pouvais voir Ton âme et son reflet noir Tu te cacherais dans un placard ! ∞ J'en ai croisé des esprits sombres Bien cachés dans leur pénombre Cafards essayant de corrompre ∞ Attirés par cette douce lueur Est-ce l'espoir qui leur fait peur ? Ou le courage qui les fait bondir de torpeur ? ∞ Petits esprits nourris par le mal Gardez pour vous votre arme fatale Car trop enjouée, je vous ignore au final ! ∞ Dans l'ombre et l'ignorance Le malin n'a plus d'existence Alors quelle importance ... Je te love Je t'aime, j'aime ces moments Ces doux instants de tendresse Toi et moi en pure finesse Je te love de ces tourments Je te love de ces mots d'amour J'aime tes mains de velours J'aime sentir tes battements Mes pupilles qui te titillent Un partage fantasmagorique Spasmes ascensionnels féeriques © LouMiss Kamikaze Il a encore frappé En toute impunité Caché dans la salle Armé pour "sa" bataille Mystifié par de faux prétextes Son humanité a disparu Ne reste plus qu'un être Dont l'âme a été vendue Ignorant, en chien fou Ce démon creuse son trou S'explosant parmi nous Pour des raisons floues Pourquoi cette violence Pourquoi cette vengeance Pourquoi verser le sang De tous ces innocents Sont-ils satisfaits d'eux D'avoir encore mis le feu Si cruelle est la bombe Ils creusent eux même leur tombe Mais ne baissons pas les yeux Restons unis face à ces pernicieux Ces barbares sanguinaires Finiront tous en enfer Alors ce soir, en mémoire A ces victimes de Manchester Qui ont laissé leur vie pour un concert Joignons nos prières pour l'espoir... D'une vie sans guerre ! © LouMiss Image Art Graphic Streetart Eric Lacombe Actualités Attentat du lundi 22 mai à Manchester *L'encre de mes Mots* Dans mon livre de vie J’ai écrit mes peines Mes joies, mes rancœurs Que je sois sereine Ou encore quand j’ai peur ∞ Dans ce livre de chevet Ma plume y a glissé Tout ce que je pensais De ma jeune enfance A mon adolescence ∞ Mes premières amours Mes baisers velours Mes éclats de rire Mes larmes et soupirs Tout ce dont j'aspire ∞ Dans ce livre d’harmonie J’y délivre bien des soucis Mes problèmes de santé Pénibles et insolubles Toutes ces difficultés Qui font que je titube ∞ Et à chaque chapitre Mes plaies s’ouvrent et se referment L’encre s’écoule au flot des maux Évacuant douleurs et sanglots Comme une rivière, elle s'écoule Et me libère de cette houle ∞ C’est un grimoire libérateur Qui de ma plume sèche mes pleurs Personne ne sait ce qui se cache Derrière cette encre qui tache Personne ne peut comprendre Les jours et nuits scaphandres ∞ Cendres de lune Incrustées sur ma plume Pour un nouvel écrit De cris à mépris maudits Quel sera ce combat aujourd’hui ? Ma page t’attend, encre de sang… ∞ © Elea Laureen, 2017Tous droits réservésImage du Net Si l'amour... Si l'amour n'existait pas La vie serait triste hélas Nos cœurs s’ennuieraient De ces émotions à grands fracas Si l'amour n'était pas là Pour réchauffer nos vies De toutes ces envies Il y ferait bien froid Si l'amour ne frappait pas A la porte plusieurs fois La monotonie des sentiments Aurait un goût d'amertume Car c'est justement ces frissons Que donne la folle passion Quand l'amour vient à notre rencontre Et que notre quotidien tourbillonne... © LouMiss Image du Net Rêve exaucé Une jolie princesse Sur son lit étendue Priait avec tendresse Chaque nuit, éperdue D'un prince tendrement rêvé Et tellement merveilleux Qu'elle ne pouvait l'oublier En ce songe mélodieux Tel un appel du cœur Elle le ressentais si précieux Et chaque soir, ce bonheur Revenait en ces lieux Pour la chérir et l'adorer Intense présent des cieux Et de cet amour, son vœu Fut enfin exaucé en réalité ... Et le prétendant de ses nuits Devint l'amant de ses jours Lui offrant le bonheur espéré Délicatesse et passion désirée Depuis, chaque soir, Elle allume une bougie Pour conjurer le noir Qui gâchait son ancienne vie, Remerciant les cieux ainsi ! © LouMiss Image du Net *Une Vie pour Une Vie Comme un doux signe du ciel Un ange a laissé passer l'orage Et de tout ce qui portait ombrage Ton âme laisse en sillage ☆ Ce nouvel élixir Au délicieux goût désir Un merveilleux plaisir Qui en quelques mois va grandir ☆ Dans son écrin précieux Délivré par les cieux Un transfert illuminé Venu nous encourager ☆ Bien sûr, tu nous as quitté Et tu nous manques chaque jour Tu as et auras toujours notre amour Inconditionnel et sans retour ☆ Mais voilà, qu'au printemps revenu Tu nous fais cadeau d'un signe inattendu Les anges nous portent et nous relèvent Quand la douleur et le chagrin achèvent ☆ Voilà, qu'à l'aube, nos protecteursLèvent le voile sur un nouveau bonheurLe ciel a ses mystèresIl crée notre univers ☆ Petite beauté, de sa douceur Insufflera cette harmonie Et de ses gazouillis Comblera le vide de lueur•⊰✿~• © Elea Laureen Tous droits réservésDPP 8413-42935 "Maison de la naissance, ô nid, doux coin du monde !Ô premier univers où nos pas ont tourné !"~ Marceline Desbordes-Valmore ; La maison de ma mère 1825 ~ Support Image Jasmine PerfumeExtrait du Recueil Comme une évidence Le Caillou qui Bique C'est ici, dans ce cadre idyllique Que je viens me fondre dans la nature Dans cette incroyable villégiature Vit un monde fantastique Étonnant, à l'orée du bois, Comme un coup de crayon, Le soleil, tombe en un rayon Traversant les arbres, Comme pour prévenir ; "on ne passe pas" Puis, à peine franchit Totalement éblouit Dans les feuillages s'élevant Le bruissement du vent Tel un message étourdissant Le chant des anges murmurant Balaye sur mon passage Les feuilles tombées en pèlerinage Plus à l'intérieur, La lumière se fait lueur Et les chants d'oiseaux Merveilleux échos Là, tout est mélodieux A presque voir les elfes Voler en secret Et à bien écouter ... Dans le silence de cette forêt, On peut en son âme éveillée Aux sons cristallins goûter Aux parfums de chlorophylle ambrée Et en cette nature s'élever Arrivée en bordure de rivière L'eau s'écoule en délicats clapotisCette délicieuse atmosphèreVient vous caresser l'esprit Au mille reflets étincelants De ces ondes apaisantesOn se laisse agréablement bercerPar les flots légers En concerto avec les oiseaux Même les fées jouent à cache à cache Entre les branches et les feuillus Il faut croire pour les voir Moi, je sais... Je les ai vues ! Mon âme d'enfant n'a pas quitté ce lieuEt mon cœur en est toujours amoureuxLa belle offrande que nous offre cette natureMon âme s'y régénère et la capture Je parle à la faune et la flore Tel un trésorEt bien sûr que j'entendsLes anges et leurs louanges On dit que c'est le diable qui a déposé Au milieu de cette forêt enchantée Un rocher au visage travailléLes sorcières aussi l'ont hanté ! N'est-ce pas une jolie légende ?Depuis plus rien ne dérangeCar les gardiens sont les archanges Ce bois magique est en Belgique Et on le nomme Caillou qui bique... © LouMiss Photos prises lors de notre balade Lettre Parfumée Une pure fragrance Dans son élégance De vos mots purs En doux murmures ∞ La belle douceur Qui caresse mon cœur Intense bonheurVenu d'ailleurs ∞ J'aime humer cette lettre Venue me conter fleurette Senteur lilas et violette Elle me fait tourner la tête ∞ Dans la grâce de vos écrits Je sens la puissance du non-ditDans l'inconscience de votre esprit Je me prélasse et je souris ∞ Tout cet amour fusionnel En arabesques essentielles Est pour moi un cadeau du cielEt restera confidentiel ∞ Il me pénètre et me fait fondre Même si la distance est longue Cette missive est si intense Que mon âme encore en tremble ! © Elea LaureenTous droits réservés DPP 6111-36025 Image Nelly Vintage Home La cité de l'Amour Ah! Venise... La cité des amoureux Un endroit merveilleux Pour apprécier les émotions Au diapason des gondoles Sur les canaux, sous les lampions Si romantique est l'horizon Harmonica et violons Et l'ambiance donne le frisson Enlacés, les yeux dans les yeux A se regarder, exceptionnel ! Le baiser se fait langoureux Pour un voyage sensuel... Un souvenir qui restera surnaturel Comme dans un monde irréel Concrétisant leur amour fusionnel Par une demande officielle ... © LouMiss Photo de Venise Fusion Comme on façonne l'argile Nos actes entretiennent notre amour Et c'est une oeuvre de tous les jours Qu'il faut colorer de manière habile Un mélange finesse à perfection De douceur, tendresse et d'affection Mais il n'y a pas de complicité Sans la confiance et le respect Ainsi va la vie Les habitudes nous nuisent Il faut qu'on se le dise Rien ne vaut la surprise Songe que dans mes rêves Les plus fous, l'illusion Parfaite est sans trêve Je m'abandonne aux frissons De nos corps en fusion Effusions de l'éphémère Effet de terre glaise A l'aise qui se façonne S'emprisonne, foisonne Mi corazon, quand nos cœurs S'effleurent, à la douce chaleur C'est l'effusion en apothéose Et ose encore pléthore, mi amor ! Alors je dis quoi que tu fasses Il faut que tu saches Pour garder un amour en fleur Rien ne vaut les petits bonheurs Que l'on façonne avec le cœur Et touche cette infinie chaleur Quand s'émulsionnent les couleurs De nos corps et âmes enlumineurs © LouMiss Image du net signée Sortilège Ils se sont retrouvés, Lui, qui l’avait perdue, A tout bravé, même l’éternité, Elle, de cette immensité, exclue. Il a tout affronté, Il donnerait sa vie, Combattu, souvent blessé, Mais sa quête n’est pas finie. Démons et adversaires, Il a affronté jusqu’au bout, A traversé maintes fois la terre, Fouiller les moindres trous. Pour enfin la retrouver, Enchaînée de désespoir, Et la supplier de le croire, Plus jamais, ne se quitteraient... Dans les bras enlacés, Larmes d’amour versées, Chevalier, princesse purifiés, Coup du sort terrassé ! Pour enfin pouvoir vivre, D’un amour pur et éternel, Tous deux désormais libres, De ce maléfice cruel ! © LouMiss Des Esp Errance Est-ce la gorgone qui l'a transformée ? La laissant là de marbre blanc Pour foudroyer tous ses tourments Et la voilà sublime statue désormais ~*~ Écoutant la pluie et le vent Elle pleure et crie en silence Qui peut bien entendre son désespoir ? Sans doute un ange venu la voir ~*~ Qui sait, peut-être qu'un soir Son châtiment ne sera plus qu'illusoire Mais elle est l'ombre du poète Qui à travers ses pages poursuit sa quête ~*~ Il cherche en vain les mots qui touchent Mais difficile de trouver l'escarmouche Ecoute sa douleur, l'essence de vie Sens-tu battre son cœur dans ses écrits ~*~ Chut, dans ce jardin d'hiver, il pleure Ses larmes sont la source de l'auteur Ce besoin de vibrer, quand la plume Doucement glisse sous la lune ~*~ Alors les mots suivent le courant Libérant les maux du souffrant Ainsi coule la rivière de l'esprit Et avec elle, l'âme se libère et revit ! ~*~ LouMiss © Laurence Delattre Tous droits réservés Image •THE MAGICK OF SPRING• Elizabeth Angela *Shéraz Angel* Ce poème est à découvrir dans le recueil"Comme une évidence"Seuls certains poèmes de ce recueil sont encoredisponibles en lecture dans le blog !© Elea Laureen, 2017Tous droits réservésImage du Net - Profil Shéraz Angel 2015/2016 Equilibre Le bien et le mal sur cette terre, Doivent trouver un équilibre, Comme le chaud et le froid de l’air, S'unifier en anticyclone libre, Ainsi dans l'univers merveilleux, S'incline la balance des cieux, Pesant chaque jour, le poids de nos actions, Dame justice n'a pas fini ses révélations .... Entre le noir et blanc, Difficile de rester innocent, Il faut trouver le chemin, Et garder la foi du divin, Trop de guerres, trop de jalousies, Ont perverti ce monde pourri, Et la balance de la vie, Va bientôt sombrer sous nos envies ! © LouMiss Image ; LIBRA BY JOSEPHINE WALL Faire un Voeu Fatiguée, énervée Lassée, dépitée Amertume et tristesse A titre posthume, retrouver ma jeunesse Ou plutôt La santé Qui me fait défaut Depuis des années Privée de cette liberté De vivre et de penser Sans question à me poser De mes enfants à profiter Toutes ces années perdues Par obligation, à rester recluse À cause de cette maladie Que personne n’a vue C’est ça le plus difficile Rester docile Et s’adapter à ce syndrome Franchement pas drôle Et devoir faire subir ça A l’entourage qui ne comprend pas Le pourquoi du comment Vous vous enfermez si souvent Mais vous, vous le savez Ce n’est pas un secret Les douleurs omniprésentes Vous obligent à l’assouvissement Car le repos et le calme Soulagent douleurs et mal Delattre L. © LouMiss Image du Net La Cavalière - Damien Desseine - Hymne de lutte contre la fibromyalgie Élixir sensuel Mes lèvres ont gardé Ce goût de miel ultime De ces parfums sucrés En doux mélange intime Comme un délicat nectar Élixir des délices du Qatar Ce baume, source de jeunesse De nos bouches en liesse Intime et sensuel caliceQuand nos lèvres s'unissent Pour un divin délice Et que tous les soucis s'évanouissent L'amour n'est-il pas merveilleux Quand dans ton regard éperdument amoureux Même si parfois, malgré moi, je doute Pour toi, je suis la plus belle de toute ! © LouMiss Image du Net Partir Partir à l'aventure Sans bagages ni fioritures Partir pour découvrir Partir à l'étranger Apprécier d'autres beautés Profiter vivre et rêver Partir en béatitude S'enfermer en zénitude Prier et planer en plénitude Partir pour changer de vie Prendre la décision de tout quitter Partir et ne plus revenir ici Disparaître à tout jamais Partir pour l'éternité Se retrouver de l'autre côté Dans une autre aire, une entité Enfin VIVRE sans se soucier Plus de douleurs,Plus de soucis, Le paradis à notre merci Et la légèreté aussi ... © LouMiss 10/05/17 Image signée AD Wolf love Il était homme merveilleux Conquérant de la Terre Narguant l'univers Il se disait chanceux Son fol amour Une belle aux atours Charmeurs, incroyable beauté Aux longs cheveux parfumés Mais de son arrogance Le malin a mis fin Et pour faire pénitence Il sont désormais punis Désunis par un sort, qui la nuit Change leur vie Lui en homme loup A la pleine lune hurle Elle devient corbeau noir Et pleure son désespoir Voilà l'histoire de cet amour infini Qui au-delà des apparences survit © LouMiss Image du Net Reflet Et de l'autre côté Comme un autre reflet Se distingue le blanc du noir Comme la joie du désespoir Tout les oppose Pas de symbiose Elles se ressemblent Juste en apparence Mais l'effet miroir Est comme le papillon Il a ce don de dévoiler Le fond de nos pensées ! Dans cette réflexion, J'ai perdu mes illusions, Pourquoi cette apparence, Contredit ce que je pense ? Elle ne reflète pas la réalité, Suis-je le fruit d'une virtualité ? Etre ou ne pas être, la longévité A travers le paraître, calquer Sont bien-être, utopie... Ou ébauche de l'idéal d'une vie ? © LouMiss Image du Net Tsunami Le soleil inonde la plage Sa chaleur brûle le sable Rien n'aurait pu présager Le terrible danger Tous profitaient De vacances méritées Et les indigènes s'occupaient Comme chaque journée Puis d'un coup, elle s'est retirée Laissant un grand vide Et ce silence Intense.... Pour revenir frapper, immense ! Les oiseaux affolés, fuyaient Ce qu'ils avaient discerné La vague tueuse Une muraille désastreuse Sur son passage Emportant anarchique Le somptueux paysage Et laissant ce chaos apocalyptique Mais comme si elle n'avait pas Encore terminé sa terrible mission A nouveau, la terre trembla Et elle revint plus fort faire lésions Frapper violemment et plus loin s'échouer Pour toutes ses âmes emporter Et faire davantage méfaitsLaissant ruines et cicatrices à perpétuité Ce jour-là à Phukets, le sol a tremblé Et mon cœur a tellement pleuré ! © LouMiss Cliquez sur le titre et laissez une trace de votre passage... Merci Mon Vol d'Hirondelle - Recueil A découvrir mon second recueil de poésie Merci à vous qui me suivez et appréciez mes écrits ... Après un premier recueil "Comme une ... Juste quelques mots A vous qui passez de temps en temps m'accorder un peu de temps, à vous qui me laissez quelques mots pour m'encourager, à vous qui m'êtes fidèles et venez me lire régulièrement, je tiens à vous dire "MERCI" Vos encouragements sont la plus belle des récompenses et des motivations ! Un tout grand merci à ceux qui me suivent et me lisent régulièrement ... C'est grâce à vous chers lecteurs que nos plumes vibrent sur la toile et que la poésie garde ses lettres de noblesse ! Bon voyage au fil de ces pages et belles découvertes... N'hésitez pas à vous abonner à ce blog afin d'être les premiers avertis des nouveautés ! Rechercher dans ce blog
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les maux du corps sont les cris de l âme